En 2020, l’ensemble des sociétés, et plus particulièrement celles des pays du Nord, a connu une situation historique sans précédent avec la pandémie de Covid-19, induisant des bouleversements pour une durée et avec des effets encore inconnus. De très nombreux secteurs, dont ceux de la culture, et particulièrement celui du cinéma, ont été mis à l’arrêt, totalement ou en grande partie, et cela durant une période qui n’avait jamais été aussi longue sur une échelle nationale et encore moins planétaire.
Et comme à chaque crise, d’aucuns prédisent « la mort du cinéma ». Mais prédire cela, c’est ignorer sa nature fondamentale comme sa fonction sociale. Une analyse de Claude Forest, professeur en études cinématographiques à l’Université de Strasbourg.
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